Comment vaincre une rupture amoureuse ?

Comment vaincre une rupture amoureuse ?

Elle est drôle, elle a un humour décapant et elle dévoile ses méthodes pour surmonter la rupture amoureuse. Selon le magazine « Love Attitude, 99,9999 % de la population mondiale a déjà vécu une rupture amoureuse… Et alors ?

« Si tu pars, qu’est-ce que je vais faire sans toi ? » Elle a bien observé les couples qui se séparent et a trouvé une méthode que je vous laisse découvrir…

Léa Fisher, une conférencière pleine de ressources. Un thème parfois douloureux abordé avec un humour décapant 🙂

Etes-vous en accord avec vos valeurs ?

Etes-vous en accord avec vos valeurs ?

Vous arrive-t-il de vous sentir mal à l’aise dans tel ou tel environnement ou situation ? Vous sentez-vous parfois en colère ou triste sans trop savoir pourquoi ?  Vous arrive-t-il d’éprouver comme un manque ou un vide au fond de vous ?  D’avoir la sensation d’être « déconnecté » de vous-même ?

Etre en accord avec ses valeurs revient à être en lien avec soi-même… Qui peut dire qu’il se sent heureux s’il ne vit pas en accord avec ses valeurs ? Comment résonne une parole, une action, une situation qui vient à l’encontre de qui on est ou pense être ? Je suis choquée de telle ou telle situation parce qu’elle ne correspond pas à mes valeurs. Et je peux me sentir en désaccord avec l’entreprise pour laquelle je travaille parce que ses valeurs ne correspondent pas aux miennes. Par exemple, si mes valeurs phares tournent autour de la liberté, de la créativité, de la générosité il est possible que j’aie du mal à travailler pour une entreprise aux process rigoureux (voire rigides) . Mais si mes valeurs phares tournent autour de la sécurité, de la performance et de l’ordre, il est possible que je me sente heureuse et sereine de travailler dans un environnement stable et bien cadré.

Qu’est-ce qu’une valeur ?

Une valeur c’est :

  • Ce qui est essentiel pour soi
  • Ce qui nous construit : c’est notre identité
  • Ce qui nous pousse à agir avec toute la détermination dont nous sommes capable
  • Ce qui influence nos décisions et nos actions

Elles dépendent de notre éducation, de notre environnement social et culturel, de notre histoire de vie, de nos expériences de vie…

Identifier ses valeurs pour répondre à ses besoins

arbre des valeursL’identification des valeurs est un passage obligé pour être en mesure de répondre à ses besoins. Et répondre à ses besoins permet de se sentir en harmonie avec soi-même et avec les autres. Marshall B. Rosenberg nous a appris que : « La violence est l’expression tragique de besoins non satisfaits. C’est la manifestation de l’impuissance et/ou du désespoir de quelqu’un qui est si démuni qu’il pense que ses mots ne suffisent plus pour se faire entendre. Alors il attaque, il crie, il agresse … «   Respecter ses besoins passe par les reconnaitre et les reconnaître passe par identifier les valeurs auxquelles nous sommes attachés. Si vos valeurs ne sont pas respectées, voire bafouées dans certains cas, un conflit s’installe avec ce que vous vivez.

Connaître ses valeurs, revient à disposer d’un mode d’emploi pour être soi-même et prendre les bonnes décisions. Nos valeurs conditionnent tous nos choix.

Si l’une d’elle n’est pas nourrie, il se crée « un vide » qui génère de la frustration, de la peur, de la colère, de la tristesse, du rejet. Ces vides nous entrainent vers des comportements de fuite ou d’attaque : critiques, victimisation, rejets divers.

A l’inverse les valeurs satisfaites créent des « pleins », qui génèrent du plaisir, de la joie, de la paix. Si nos valeurs sont nourries, nous nous sentons en accord avec nous-mêmes et notre créativité peut se révéler pleinement, de même que notre amour du monde.

Incarner ses valeurs…

Il ne suffit pas dénoncer une liste de mots qui résonnent bien à nos oreilles et nous font plaisir ; encore faut-il les incarner.

Il y a quelques temps j’ai rejoins une association (un centre de formation pour ado et jeunes adultes) pour y apporter mes compétences dans le domaine de la communication et du web-marketing (le secteur d’où je viens) et j’animais la Commission Communication. Je me souviens de mes premières présentations ; mes phrases contenaient des mots tels que : performance, clients, prospects, indicateurs de performance… et je revois encore les yeux ronds des membres du Conseil d’Administration. La fille naturelle du loup de Wall Street était parmi eux (je venais de l’entreprise et ce vocabulaire me paraissait naturel). Quelques mois plus tard, c’est moi qui ai eu les yeux ronds. Les valeurs que je pensais communes (respect, bienveillance, entraide…) étaient pulvérisées à l’occasion d’un conseil de discipline… Je suis restée 3 ans avant de donner ma démission du CA et du bureau. Que s’est-il passé ?

Nos valeurs n’étaient pas en phase… Les valeurs annoncées (respect, bienveillance, etc.) étaient bien là, mais il manquait une étape fondamentale : comment est-ce que j’incarne mes valeurs ? Si je m’étais un peu posée et si j’avais réfléchi, je me serais rendue compte que je ne pouvais pas arriver dans un milieu que je ne connaissais pas et m’exprimer en jargon professionnel…. et si j’avais écouté et observé les personnes qui m’entouraient, je me serais rendue compte assez vite des mots et expressions à éviter et je les aurais remplacés par d’autres mots, et j’aurais incarné ma valeur « respect ». Lorsque je parle sans prendre garde d’être comprise, est-ce que je respecte l’autre ?

Quant au conseil de discipline, selon mes critères et ma vision du monde, il ne reflétait ni respect, ni bienveillance, ni justesse… Personnellement, j’ai vécu ce conseil comme un lynchage. Des adultes (une bonne vingtaine…), s’en prenaient à un jeune garçon pour un geste déplacé pour lequel il s’était excusé et qui aurait mérité une entrevue avec le directeur, mais certainement un conseil de discipline ! Ce que d’autres pourraient qualifier de laxisme…

Nos valeurs n’étaient pas en adéquation, ni dans les mots utilisés, ni dans notre manière de les faire vivre et mon départ m’a apaisée car je ne pouvais plus me sentir complice de comportements et d’actions que je réprouve.

Pour se sentir bien, il est donc fondamental de respecter pleinement ses valeurs.

Si cet article vous a intéressé, je vous propose d’aller plus loin en téléchargeant le PDF qui vous permettra d’identifier vos valeurs à un premier niveau. Et si vous pensez que ce travail puisse être intéressant et utile pour votre entourage, n’hésitez pas à le partager. Laissez moi aussi un commentaire, j’adore les feedback 🙂

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Vous ne savez plus où vous en êtes ? Vos relations avec votre entourage est parfois difficile ? Vous rêvez d’une vie différente ?

Etes-vous en ligne avec vos valeurs ?

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Que ta parole soit impeccable…

Que ta parole soit impeccable…

Il faut se méfier des mots…

Miguel Ruiz, dans le premier des 4 Accords Toltèques, compare la médisance et les mensonges à de la magie noire car les mots créent les pensées et les pensées créent les comportements…

Les mots que nous entendons, les mots que nous adressons à nous-mêmes, les mots que nous adressons à d’autres s’insinuent progressivement dans tout notre être, de façon pernicieuse, sans même que l’on s’en rende compte.

Qu’un enfant entende un jour qu’il/elle est « nul en maths » ou qu’il/elle « chante faux » et une croyance s’installera, l’empêchant de progresser en maths et/ou de chanter. Il lui faudra du temps pour retrouver la confiance et se dissocier de cette croyance. Pourtant combien de fois avons-nous entendu dans notre enfance de ces mots qui blessent : « tu es paresseux ! », « tu es sale », « tu ne comprends rien ! », tu n’écoutes jamais rien »…

« Choisis un vrai métier », « tu ne gagneras jamais ta vie avec ça », « On les voit les artistes ! Ils ont du mal à joindre les 2 bouts… ». Vous les avez entendues ces phrases qui ont eu pour effet de vous éloigner de vos rêves ?

Et puis il y a aussi les avis du quotidien… Vous vous réveillez en pleine forme et un peu plus tard dans la matinée, un collègue vous trouve une mine fatiguée… Et ceux qui glosent d’autrui, médisent et répandent des rumeurs. Ceux, toujours en colère, qui vous polluent l’esprit de leurs appréciations négatives et critiques en tous genres…

Les mots caressent, les mots bercent, et les mots blessent…

« T’es trop nul », « Tu sers à rien », « j’y arriverai jamais » , « c’est pas pour moi », « c’est trop tard »…  Autant de mots qui s’inscrivent à la longue profondément dans notre chair, dans nos cellules, dans nos pensées et qui génèrent des actions ou pire : des non-actions. Quoi de plus pernicieux et de plus toxique que ces mots qui créent un amalgame entre des comportements (pas toujours au top) et une personnalité (qui est ce qu’elle est) ?

La langue perd de sa richesse et sous prétexte « d’aller plus vite » nous faisons des raccourcis dangereux. Est-ce que je veux dire à telle personne qu’elle est nulle ou que son comportement n’est pas à la hauteur de ses capacités ? Car c’est bien de cela qu’il s’agit : juger l’autre dans ce qu’il/elle EST au lieu de pointer des actes, des mots ou des comportements. De plus, cette façon de juger l’autre brouille notre vision de qui il/elle est réellement puisqu’elle focalise notre attention sur un point unique, vu à travers notre filtre personnel.

Et si nous nous aimions pour ce que nous sommes au lieu de ne pas nous aimer pour ce que nous ne sommes pas ? 

Imaginez que nous nous disions ce que nous aimons au lieu de dire uniquement ce que nous n’aimons pas ? Imaginez que nous mettions du coeur à envoyer de vraies marques d’attention.. A quoi ressemblerait le monde ?

Il ne s’agit pas de vivre dans un monde de bisounours où chacun fermerait les yeux sur les « défauts » de l’autre, mais de trouver un juste équilibre qui permette de dire les choses sans agresser. Car une parole impeccable, c’est dire aussi ce qui ne va pas pour éviter tout malentendu et toute source de frustration.

Quand la banalisation prend le dessus…

Quand la banalisation prends le dessus, on se retrouve avec des situations inacceptables qui sont pourtant jugées sans gravité. Je pense (entre autres) au canular de Cyril Hanouna en mai dernier. Que l’animateur soit ou non homophobe n’est pas le débat. Que les associations qui se sont mobilisées contre lui n’aient pas joué en la faveur des LGBT, n’est pas le sujet de ce billet non plus. Ici, je ne retiendrai que les conséquences du canular. Conséquences pour ce jeune de 19 ans qui s’est fait piégé à la TV et que son père a reconnu avant de le mettre à la porte. Conséquences au niveau émotionnel pour ceux qui se sont sentis insultés et humiliés par un jeu particulièrement stupide.

« C’est la vie », « on n’y peut rien », « que peut-on y faire ? », « c’est comme ça », « c’est pas grave », « y’a pas mort d’homme »… Faut-il qu’il y ait mort d’homme pour apprendre à communiquer et à respecter son voisin ?

Les mots sont banalisés. Les expressions ont perdu leur sens premiers à nos oreilles et le mental sait traduire (ce n’est pas ce qu’il/elle a voulu dire). Mais quand les yeux se baissent, que la gorge se serre et que le coeur devient lourd, on a beau se dire que ce n’est pas si grave, il restera pourtant une blessure. Comme une égratignure qui refuse de cicatriser… les mots restent gravés et les maux que nous tentons vainement de cacher sont là pour nous rappeler que quelque part, quelque chose nous fait mal… Quel est ce mot que vous avez (trop) souvent entendu et qui vous fait mal à entendre aujourd’hui encore ? Quel est ce mot ou cette situation qui vous met systématiquement en colère ou vous rend triste sans que vous ne sachiez exactement pourquoi ?

Parents, prenez soin de vos enfants !

Un enfant à qui l’on dit qu’il est paresseux, nul en maths, pas intelligent deviendra un adulte paresseux, nul en maths et pas intelligent car il créera cette croyance. Si on lui dit qu’il est moche, il se comportera comme quelqu’un de moche. Nous, parents, qui aimons nos enfants, qui voulons les protéger, les guider et les aider à grandir, nous sommes bien souvent les premiers à casser leurs rêves et à leur transmettre nos propres peurs.

Comment vous comportez-vous avec vos enfants ? « Tu es lent, dépêche toi ! », « Tu es méchant! », « Tu es paresseux », « Tu ne comprends rien ! », « Tu n’écoutes pas »… Vous êtes-vous déjà exprimé dans ces termes vis-à-vis de vos enfants ? Moi, oui… C’était d’ailleurs mon mode de communication jusqu’au jour où je me suis rendue compte que si je voulais aider mon fils, je devais devais changer, moi… Jusqu’au jour où j’ai réalisé qu’il était plus que temps pour moi de porter un regard différent sur la vie et sur mon entourage. Un processus long qui m’a demandé beaucoup d’efforts et d’humilité et qui est loin d’être terminé ! La bonne nouvelle, c’est que chaque petits changements a un impact direct sur nos enfants.

Apprendre à dire non…

Je vous invite à retrouver une parole impeccable. Mettez un anti-virus dans votre cerveau pour chasser le négatif. Bloquez les râleurs sur Facebook. Rappelez-vous des propos tenus par certains « amis »… Racistes, homophobes… Leurs mots expriment de la colère, de la peur, du mal-être… Certains ne partagent que ce qui ne va pas…

Tous les mots que l’on dit ou que l’on pense créent des croyances qui nous mènent au jugement. Jugement de l’autre et jugement de soi. C’est de ces comportements que nait la peur du regard de l’autre. Vous avez peut-être peur d’être jugé ? Se pourrait-il que cette peur vienne de la mémoire d’un jugement plus ancien ou de votre propre jugement ? Il ne faut pas vous en vouloir… Nous avons tous (ou presque…) été élevés pour penser comme ça…

Et si on pointait ce qui va ? Les réussites (parce qu’elles existent !), les découvertes, la beauté, l’intelligence, la compassion… Si on parlait de ceux qui contribuent à créer un monde meilleur ? Si on se regardait le matin en se disant « je t’aime et je suis fier de toi ! »

Essayez, vous verrez 😉