Et si on prenait le temps de vivre ? (4/4)

Et si on prenait le temps de vivre ? (4/4)

10 clefs pour avoir du temps pour soi

 » On remet sa vie à plus tard, et pendant ce temps, elle s’en va « . Sénèque le disait déjà en son temps. Et aujourd’hui, dans un monde où la performance est de rigueur, nous sommes amenées à exécuter plusieurs tâches simultanément, que ce soit à la maison ou au bureau. Nous pensons que  » demain « , nous aurons le temps… mais  » demain  » n’arrive jamais. Comment faire pour concilier performance et bien-être en prenant le temps de vivre ?

1 – Prendre le temps de hiérarchiser les tâches
Contrairement à ce que l’on imagine, se jeter à corps perdu dans les tâches ne permet pas d’avancer plus vite. Car chaque tâche appartient à une catégorie : Urgente, importante ou prioritaire. Réfléchir, poser les choses, trier les priorités permet de réaliser ce qui est à faire et de délaisser ce qui peut attendre.
Posez-vous la question : Quelles sont les conséquences si vous faites ou ne faites pas quelque chose ? Par exemple, si vous décidez de pas passer votre permis de conduire, quelles en seront les conséquences dans 1 semaine, dans 1 an et dans 3 ans ? La réponse peut être très différente d’une personne à l’autre, en fonction de son lieu d’habitation (ville ou campagne), de ses revenus (prendre un chauffeur) ou de toute autre raison. Il n’y a donc ni bonne, ni mauvaise réponse, seuls les effets de la décision sont à prendre en compte. Si vous passez l’aspirateur demain plutôt qu’aujourd’hui quel seront les effets à long terme de cette désastreuse décision ?

2 – Faire une chose à fois
Lorsque l’on se sent sous pression, on veut tout faire en même avec l’impression que le mode multitâche nous aidera. Rien de plus faux ! En passant d’un sujet à l’autre ; nous perdons des informations. Il vous est sans doute déjà arrivé de commencer une tâche, puis de passer à une autre parce que le téléphone sonne ou qu’un mail arrive qui vous amène à démarrer une nouvelle activité que vous débutez sans avoir terminé la précédente… Arrive la fin de la journée, vous fermez les fenêtres de votre ordinateur et vous constatez que plusieurs tâches ont été laissées en plan…

Exercice :

  • Prenez une feuille de papier, un stylo et un chronomètre.
  • Notez à la suite, les chiffres de 1 à 26, suivi de l’alphabet, de A à Z.
  • Combien de temps vous a-t-il fallu ?
  • Recommencez, en alternant un chiffre, une lettre, un chiffre, une lettre : « 1, A, 2, B… »
  • Comparez ce temps avec le premier.

3 – Se vider la tête et prendre du recul…
Faire une chose à la fois, en étant pleinement concentrées sur ce que l’on fait permet de se dégager des  » tâches de fond « . Vous savez, cette petite voix qui égrène la liste de ce que vous n’avez pas fait ou qui vous réveille en pleine nuit parce que vous avez  » oublié  » quelque chose… Notez ce que vous avez à faire sur une liste, puis passez à autre chose. Cela vous permettra d’être pleinement dans ce que vous faites sans penser à ce que vous pourriez avoir oublié. Après une bonne nuit de sommeil, reprenez votre liste et voyez ce qui vous semble toujours important.
Pour se vider la tête, il existe aussi toute une série de solutions : marcher, faire la cuisine, jouer avec les enfants, lire, ou même ne rien faire et rêver ! Penser ne fait qu’entretenir la course du petit hamster que nous avons dans la tête.
En prenant du recul et en observant nos pensées, nous prenons de la hauteur par rapport à nos ruminations et nous nous rendons compte que ce qui nous paraît fondamental ne l’est peut-être pas tant que ça !
Prenez le temps de vous reconnecter avec vous-même. Lorsque nous sommes constamment dans le  » faire « , nous nous éloignons de ce qui est important.

4 – Trier l’information
Dans un monde hyper connecté, nous sommes soumis à une masse d’information exponentielle que nous ne sommes pas toujours en mesure de traiter, et nous nous mettons nous-mêmes une pression excessive pour nous contraindre à l’absorber.

5 – Lâcher prise, savourer chaque instant
Cessez de vouloir tout contrôler, c’est impossible, la vie est faite d’imprévus. Nous sommes parfois submergés par l’objectif quand nous devrions prendre le temps d’apprécier le chemin qui y mène.
« Pour innover, il faut se creuser le cerveau ». Parfois, mais pas toujours…. Votre créativité s’anime lorsque vous alternez temps de réflexion et temps de lâcher-prise. C’est souvent au moment où vous ne vous y attendez pas (sous la douche ou en faisant ses courses), qu’arrivent vos meilleures idées. Lorsque vous butez sur un problème, ne vous acharnez pas. Laissez reposer. Votre cerveau continuera à chercher. Mais lorsque l’idée arrive, notez là ! La zone du cerveau qui a des idées n’est pas celle qui la mémorise…

6 – Respecter son temps de sommeil
Pour être actif et performant, il faut bien dormir, n’en déplaise aux fanatiques. Et à chacun son temps de sommeil et son chronotype. A court terme, le manque de sommeil impacte la qualité de vie et le comportement : baisse de la concentration, émotivité exacerbée. A long terme, le manque de sommeil influe sur la santé.  » Non seulement le sommeil est essentiel à notre santé physique globale, à notre santé mentale et à notre bien-être général, mais il améliore notre rendement au travail « , note Arianna Huffington, auteure de plusieurs livres dont The Sleep Revolution (La révolution du sommeil).

7 – Apprendre à dire non…
 » Le bonheur, c’est de savoir ce que l’on veut et de le vouloir passionnément «  (Mime Marceau). Vous êtes régulièrement sollicitée parce que vous ne savez pas dire non. Votre famille fait appel à vous en permanence, au bureau, les heures sup’ sont pour vous et les copines vous appellent pour s’épancher alors que vous rêvez d’un verre de vin et d’un bain parfumé. Ça vous fait râler parce que vous n’en pouvez plus, mais vous acceptez de peur qu’on ne vous aime plus ou parce que votre éducation vous a appris à tout accepter. Pire ! Il arrive que vous vous proposiez sans qu’on ne vous ait rien demandé… Une proposition que vous regrettez amèrement par la suite…
Faire preuve d’assertivité, c’est se préserver. Et si certains s’en trouvent contrariés, dites-vous qu’on ne peut pas plaire à tout le monde et ce n’est pas en acceptant tout et n’importe quoi qu’on vous aimera davantage, bien au contraire. On vous respectera pour votre personnalité et votre capacité à dire ce que vous voulez.

8 – Accepter l’imperfection
Et les échecs. Ce sont les échecs qui nous font grandir. Prenons-les sous un angle positif : qu’est-ce que j’apprends de cette situation, comment m’améliorer, quoi changer ? Au lieu de nous mettre martel en tête et de nous reprocher l’échec, cherchons ce que nous pourrions modifier. C’est ainsi que nous passerons à l’action et non en craignant une éventuelle  » erreur « . L’erreur est naturelle. Lorsque nous apprenons quelque chose de nouveau (conduire, skier, danser, chanter…) nous y sommes forcément confrontées. La refuser revient à refuser d’apprendre, d’avancer et… de vivre ! Vous  » n’êtes  » pas vos réussites et vos échecs

9 – Sourire et dire merci plusieurs fois par jour
Oui, ça peut vous paraître étrange… Comment le fait de sourire et de dire merci va me donner plus de temps, me direz-vous ? Sourire change l’état d’esprit. Si vous souriez, votre cerveau analyse que vous êtes joyeux. Et si vous dites merci, il comprend  » gratitude « . Il va donc sécréter des endorphines qui provoqueront une sensation de relaxation et de bien-être. A consommer sans modération !

Pour en savoir plus…

  • Tout s’accélère, Gilles Vernet, Editions Eyrolles
  • Domptez votre emploi du temps, Slavica Bogdanov, Jouvence
  • 100 petites astuces pour mieux gérer son temps, Olivier Luke Delorie, Les Editions de l’Homme
  • Moins mais mieux, Stéphanie Assante, Dangles Editions

Les idées reçues

Les femmes sont multitâches : FAUX
Les femmes, pas plus que les hommes ne sont multitâches. Au mieux, notre cerveau nous permet de réaliser 2 tâches simultanément à la condition d’être passés par un apprentissage répétitif, et que les fonctions utilisées ne soient pas en compétition, comme par exemple, marcher et parler en même temps. Si plusieurs zones sont activées, le cerveau passera d’une tâche à l’autre en 0,1 seconde (100 millisecondes).

On apprend en dormant : VRAI
« Avant, on pensait que le cerveau endormi était isolé et que l’information sensorielle était bloquée », explique Thomas Andrillon, un des auteurs d’une étude sur le sujet et chercheur au CNRS « L’idée d’apprendre en dormant était donc perçue comme un mythe. Mais d’autres études ont démontré que le cerveau était capable de traiter des informations extérieures pendant le sommeil. Ça a relancé le débat ».

Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt : FAUX
Peut-être vrai pour Benjamin Franklin à qui on doit cette citation, mais pas pour tout le monde. D’après le cardiologue Martin Juneau et l’Association Américain des maladies du cœur, c’est le nombre d’heures de sommeil qui compte et non l’heure du coucher ou du lever.

On est plus performant à 30 ans qu’à 50 ans : FAUX
Si nous l’utilisons, notre cerveau fabrique des connexions neuronales tout au long de sa vie. Seules les connexions inutilisées s’éteindront, mais la bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de les réactiver ! Les jeunes sont parfois plus rapides, mais les seniors ont créé des raccourcis au fil de leur vie qui peur permettent de trouver rapidement l’information. La performance est donc la même.

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6 clefs pour ne plus se prendre la tête et aller de l’avant

Se souvenir d’une situation passée (et forcément désagréable…), imaginer une situation future (et ses aléas !), ressasser interminablement la même histoire ou la même situation sont autant de façons de nous saborder et de nous empêcher d’aller de l’avant… !

Même les situations les plus insignifiantes peuvent prendre une place disproportionnée… Par exemple : ce matin votre boss ou votre collègue ne vous a pas dit bonjour. Plus tard, dans la journée, il vous a parlé sur un ton bizarre… Vous savez qu’il y a du licenciement dans l’air (ou de la promotion) et vous avez la sensation de manquer d’information… Brusquement, vous ne parvenez plus à vous concentrer sur ce que vous faites. Vous vous souvenez de mille petits signes passés : le rendez-vous manqué, une remontrance, une allusion… La semaine dernière, pendant la réunion, vous n’avez pas réussi à défendre votre projet… Que disait ce mail, déjà ? Comment était-il formulé ?

En réalité, et dans les faits, tout va bien. Votre boss est comme d’habitude, mais il se trouve qu’en ce moment, vous êtes fatigué et vous avez du mal à enregistrer et à assimiler ces faits, parce qu’une petite partie de votre cerveau va bloquer votre capacité d’analyse et de recul et vous vous mettez à ressassez…

Pourquoi et comment ?

Réel ou imaginaire ?

Le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et l’imaginaire. Par exemple, si vous skiez il vous suffit de penser que vous pourriez tomber pour… tomber !

Traversez un cimetière la nuit en imaginant un film d’horreur et vous verrez des zombies derrière chaque tombe !

Mais envoyez lui l’image et le souvenir, sensations incluses, d’une situation qui vous a procuré de la joie et il libérera de la dopamine, un neurotransmetteur associé au plaisir.

Le cerveau ne connaît pas non plus la négation : « ne pensez pas à une plage de sable chaud bordée de palmiers » ne vous aide pas à vous concentrer sur le dossier 312 que vous devez remettre dans 2 heures…

Trois niveaux qui communiquent ou s’opposent…

Vous est-il arrivé d’être attirée par une direction et de vivre un dialogue intérieur cornélien ? Vous voudriez prendre des risques, et une partie de vous dit « oui » quand une autre partie dit « non ». Les 2 voix (voire les 3…) ont des arguments convaincants et vous ne savez plus ni quelle voie prendre, ni quelle voix écouter ! Vous vous sentez tiraillée entre « je veux », « j’ai envie » et « ce n’est pas raisonnable ».

Dans les années 60, le neurologue Paul MacLean a introduit le concept du cerveau triunique : 3 cerveaux distincts, construits l’un sur l’autre, comme des couches successives, hérités de notre évolution.

  • Le cerveau reptilien rapide, réflexe, siège des automatismes, qui assure notre survie. Son rôle le rend pessimiste et il imagine le pire pour que nous restions dans notre zone de confort.
  • Le cerveau limbique, le centre des émotions et de la mémoire. C’est lui qui nous amène à communiquer, ressentir, aimer, de rechercher le confort. Sa fonction principale est de créer des images mentales, agréables ou pas…
  • Le cortex ou siège de la pensée et du langage. Il assemble des faits, les analyse, les projette, les anticipe. Il rêve, il imagine, il vous donne des ailes

Ces 3 cerveaux sont en communication permanente et parfois en conflits (oui / non). En cas de stress, c’est le reptilien qui prendra le dessus.

Cinq blessures, 5 messages contraignants et 1 saboteur…

Ajoutez à cela les messages contraignants reçu dans votre enfance : sois parfait (peut mieux faire…), fais des efforts (on n’a rien sans peine), fais plaisir (sois gentil, range ta chambre…), dépêche toi (Qu’est-ce que tu es lente !) et sois fort (ne pleure pas comme un bébé !) et les 5 blessures vécues (trahison, rejet, abandon, humiliation et injustice) et vous obtenez un terrain de jeu idéal pour votre saboteur personnel !

Lorsque vous vous « prenez la tête », c’est parce que vous focalisez soit sur des événements du passé que vous auriez voulu différent, soit sur l’avenir que vous ne connaissez pas encore… Or, vous n’avez aucune prise sur le passé, et l’avenir, c’est l’avenir… !

6 clefs pour ne plus se prendre la tête et aller de l’avant :

1. Lâcher prise et savourer le présent.

Attention, il ne s’agit pas de ne « rien faire » car paradoxalement, c’est l’attention qui permet le lâcher prise. Etre attentif à notre environnement, à nos ressentis émotionnels et corporels conduit va nous permettre d’être focalisé ici et maintenant et d’empêcher la pensée de partir dans le passé ou dans le futur, sur ce qui s’est passé ou sur ce que je veux contrôler. Ressasser sur un événement passé ne changera ni le passé ni le futur. Nous n’avons de « prise » que sur l’instant présent. Soyez à l’écoute de votre corps, de ce qui vous entoure (les fleurs, les voitures, les gens, les arbres…). Prenez conscience de vos pensées et observez les sans les retenir. Dès que vous sentez qu’elles prennent le dessus ou dès que vous vous sentez fatigué ou irrité, faites une pause et prenez un temps pour vous. Par exemple 3 minutes pour respirer, regarder le ciel, être ici et maintenant…

2. Célébrez les réussites.

Marshall Rosenberg disait « Si vous ne vous célébrez pas, il y a peu de gens qui vous célébrerons autant que vous avez envie d’être célébré » Quand on exprime notre joie pour ce que nous avons fait, ou pour ce que quelqu’un a fait pour nous, ça fait immédiatement remonter notre niveau de joie, de bien-être et d’énergie. Qu’est-ce qui s’est passé au cours des dernières semaines qui vous a fait vraiment plaisir, qui a contribué à votre bien-être, qui a répondu à vos besoins ? Avez-vous fait plaisir à quelqu’un ? Lui avez-vous donné le sourire ? Revivez tous les détails de la scène émotions incluses et faites monter votre niveau de Dopamine !

3. Parler et penser en positif.

Les mots créent les pensées, les pensées créent des comportements. Si le matin vous vous réveillez persuadé que la journée se passera mal, elle a toutes les chances de mal se passer. C’est la loi de l’attraction et il ne s’agit pas d’un concept ésotérique mais d’une loi mécanique. Si vous rayonnez de joie, les personnes que vous croisez rayonneront avec vous. Si vous leur transmettez du stress et de la colère, elles se détourneront de vous ou se mettront en mode défense. Parler en positif, c’est aussi dire ce que l’on veut et non ce que l’on ne veut pas. C’est modifier son vocabulaire en éliminant des mots et des phrases comme « c’est nul » ou « c’est impossible » en les remplaçant par exemple par « ce n’est pas parfait » et « ça ne sera pas facile »

4. Se faire du bien et s’aimer.

Se traiter en 1ère classe est un art de vivre ! Nous nous aimons pour ce que nous ne sommes pas au lieu de nous aimer pour ce que nous sommes… Nous tenons de notre éducation l’humilité, la modestie, l’effacement… Inversez la tendance en listant vos réussites, les épreuves que vous avez traversées et félicitez-vous pour cela comme vous féliciteriez une autre personne pour les mêmes réussites ! Observez cette personne magnifique qui a réalisé tant de choses dans sa vie !

Dites ce que vous avez à dire, aimez toutes vos émotions y compris la colère et la peur, et respectez les rendez-vous que vous prenez avec vous comme vous respectez les engagements que vous prenez avec d’autres.

5.. Mettre l’égo de côté et cesser de se comparer.

Le monde ne vous en veut pas ! C’est le propre du syndrome de l’imposteur que de nous amener à nous comparer et à nous juger en attribuant ces évaluations aux autres. Nous ne sommes jamais suffisamment ceci ou cela. Nous manquons de formation, de connaissance, de légitimité, d’expérience… Nous sommes trop jeunes ou trop vieux jusqu’à ce qu’il soit trop tard… Les autres sont plus forts, plus grands, plus intelligents, savent mieux…

Dites-vous qu’il y aura toujours quelqu’un qui saura mieux que vous dans quelque domaine que ce soit. Alors donnez simplement le meilleur de vous-mêmes, soyez authentique et sincère. C’est votre vulnérabilité qui touchera les personnes qui vous entourent et non votre toute puissance, car ils se reconnaitront en vous.

Et si votre égo résiste, donnez-lui une mission qui sera bénéfique pour vous…

6. Passer à l’action.

Ce sont les actions qui donnent confiance en soi et font taire les petites voix. Sortir de sa zone de confort demande d’oser affronter la réalité, mais c’est à ce prix que l’on entre dans une « zone magique ». Celle où l’on se rend compte que nos peurs étaient basées sur un fantasme. Une histoire que l’on a montée de toute pièce soi-même.

Demandez-vous quel est votre « pourquoi ». Quel est votre but, celui qui vous tient à cœur, quel qu’il soit : demander une augmentation, parler à son conjoint ou participer à un marathon et passez à l’action, même si cette action est toute petite au départ comme se renseigner sur une date ou préparer ce que l’on veut dire

Aller de l’avant suppose de mettre de côté ce qui nous freine pour nous concentrer sur ce qui nous porte. Aller de l’avant suppose de nous aimer mieux pour nous ouvrir à l’autre et d’accepter de prendre 100% de la responsabilité de sa vie.

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